Pourquoi est-ce que des gens qui ne croient pas en Dieu ou en l’ame humaine et qui donc considèrent qu’on est pas autre chose que des animaux avec de gros cerveaux veulent d’un coté sauver la pureté génétique des écureuils roux en Angleterre, ou des dingos en Australie ou de je ne sais quelle autre bestiole de débile, et pourtant veulent nous mélanger avec tous les différents?
Pourquoi est-ce qu’on essaie de me faire croire qu’on est tous pareils alors que je vois bien que non?
Pourquoi est-ce que les jopurnaux français ne parlent pas de la catastrophe qu’est l’administration Obama, Guantanamo toujours ouvert, porte parole qui dit ouvertement que Mao est un modèle politique pour elle, liens étroit avec ACORN alors que cette association était prête à donner des trucs pour l’ouverture de bordels pédophiles et ainsi de suite? Et pourquoi est-on un raciste dès qu’on dit du mal d’Obama? Vous croyez vraiment que si un autre démocrate avait été élu, les gens de droite se seraient roulés par terre de bonheur à l’idée d’avoir une sécurité sociale sur un modèle socialiste?
Pourquoi est-ce que personne ne s’est donné la peine de savoir qui était vraiment Harvey Milk, mec capable d’inventer des histoires de toutes pièces pourn servir sa cause parce que tout est symbole?
Est-ce que quelqu’un d’autre a remarqué la campagne de pub de la RATP sur leurs archives photos? Pour moi c’est clairement une preuve de la réalité du réchauffement climatique. Les gens avaient l’air nettment moins bronzés à l’époque.
Comment peut-on croire une seule seconde que les garçons dont parle F. Mitterand dans son livre ne sont pas jeunes? Les gens qui servent d’esclaves sexuels sur les marchés asiatiques sont tous morts du sida à 19 ans.
Rêves de puissance
Je l’ai dit et je le répète, le fait de faire des affaires avec les chinois, les indiens, les arabes, affaires dans lesquelles on leut cède de la technologie contre un peu de blé est proprement scandaleuse. C’est une faute morale, une traitrise vis à vis de notre passé et de notre avenir. Le fait de prévilégier le court terme sur le long terme est la tare des ventres trop bien nourris. En attendant, c’est comme si on se collait une bastos dans la calebasse, performant sur nous même une trépanation arrachant le seuil de reception de la douleur au passage. Ca fait qu’on se sent bien malgré notre espérance de vie amputée de sa moitiée.
Certes.
Que faire alors? On ne va quand même pas rester dans un coin de la salle comme la fille moche et boudeuse qui garde le sac à main de ses copines qui se frétillent frénétiquement sur la piste de danse en fantasmant sur le plaisir qu’elles auront à se faire enfiler et à se sentir bien remplies sans se soucier de la sensation de courant d’air froid qu’elles subiront au moment du retrait.
Et bien voila ce que je propose pour à la fois profiter du court terme et du long terme: « mettre du lait dedans des enfants » comme disait Churchill. La puissance d’un pays et d’une culture est liée à sa démographie. Il faut des jeunes qui ont la dalle et qui sont prêts à prendre des risques. Donc on prend le blé des étrangers et on réinvestit tout ça dans une politique nataliste à fond les ballons (qui en bénéficiera est un autre problème bien entendu). On supprime l’avortement et on créée des orphelinat s’il le faut. On forme les jeunes têtes de nouveau blondes pour leur donner envie d’êtres autres choses que des fonctionnaires. On leur vante les mérites d’une pognée de conquistadors qui ont réussi à foutre à genoux un continent enkysté dans une civilisation de sauvagerie, on les rend fiers d’eux-mêmes et on les envoie à la reconquête d’un monde qui nous échappe car ne vous leurrez pas, soit on sera les chefs, soit on sera les domestiques, il n’y aura jamais de collaboration créatrice d’un enrichissement mutuel.
Le choix est simple et parfaitement exprimé par Raspail: « apprendre le courage résigné d’être pauvre ou retrouver l’inflexible courage d’être riches. »
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Publié dans On se fait hara-kiri tout de suite ou bien?
Tagué comment dominer le monde, faire des affaires à l'international, le bon temps des colonies